Figure montante parmi les compositeurs reconnus de notre temps, Benoît Menut est aussi l’un des plus féconds, amoureux de la voix, comme de ses interprètes et du public.
« Le meilleur de moi-même, je le dois à Beethoven. Et je pense que des milliers d’humbles gens, dans tous les pays, lui doivent, comme moi, la consolation, la force vitale (…). Il est le symbole rayonnant de la réconciliation de l’Europe, de la fraternité humaine » (Romain Rolland, au moment du centenaire de la mort de Beethoven, 1927)
Figure montante parmi les compositeurs reconnus de notre temps, Benoît Menut est aussi l’un des plus féconds, amoureux de la voix, comme de ses interprètes et du public.
Voilà un siècle que Giacomo Puccini s’est éteint à Bruxelles, emporté par le cancer qui lui rongeait la gorge, par le traitement redoutable qu’il était venu y chercher et par un arrêt cardiaque. Et depuis un siècle sa musique n’a cessé de résonner sur les scènes du monde entier.
C’est sur les rives du Bosphore, en prenant le ferry qui relie Kadiköy sur le flanc asiatique d’Istanbul pour rejoindre la rive européenne qu’est soudainement revenue en moi la question de mon identité.