L’emploi d’un bœuf charolais du nom d’Easy Rider pour représenter le veau d’or dans Moses und Aron actuellement à l’affiche de l’Opéra de Paris, a engendré pas mal de remous, certains s’interrogeant sur le salaire du bovidé (5000€ par représentation), d’autres se préoccupant du traitement réservé à une bête qui n’a jamais eu vocation à faire du théâtre. « Le sort d’un animal ainsi enfermé (et donc forcément très stressé) m’émeut sérieusement… je ne suis pas sûr que Moses und Aron aient besoin de ce « sacrifice » pour être un bon opéra », pouvait-on lire ici-même sous la plume d’un de nos lecteurs inquiet. Sur ce dernier point, qu’il soit rassuré, l’Opéra de Paris publie sur sa page Facebook un communiqué, reproduit ci-dessous, destiné à tranquilliser son public. Easy Rider bénéficie de toute la préparation nécessaire au statut de vedette, ce qui explique sans doute son cachet, élevé.
| Information production « Moses Und Aron » | Le taureau, Easy Rider, a été choisi au mois de mai pour être présent dans…
Posté par Opéra national de Paris sur mardi 20 octobre 2015