A quoi reconnait-on une diva ? A l’excentricité de ses robes, ce qui certains soirs de concert peut s’avérer périlleux. James R. Oestreihc, le critique du New York Times, raconte que lors de son dernier récital à Carnegie Hall le 9 mars, la (trop) longue robe noire à dentelles de Renée Fleming a failli lui faire rater son entrée. Si elle a évité de justesse une chute, la soprano américaine n’en a pas moins semblé en « excellente forme ». Bonne nouvelle pour ses admirateurs parisiens qui s’apprêtent à l’applaudir dimanche prochain, 27 mars, au Palais Garnier dans un programme similaire à celui de New York : Schumann (Frauenliebe und -leben, Op. 42) et Rachmaninov auxquels, à Paris, s’ajoutent Le Temps l’horloge de Dutilleux, centenaire oblige, et des Lieder de Strauss. Quant à la robe, on ose espérer que Madame Fleming en aura fait reprendre la longueur, la marche à descendre pour accéder à l’avant-scène du Palais Garnier s’avérant particulièrement haute (Diana Damrau le 8 mars dernier a failli y laisser un talon).
Renée Fleming : dur, dur d’être diva !
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Brève
25 mars 2016
Renée Fleming : dur, dur d’être diva !
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