Pour s’assurer de passer une journée merveilleuse, rien de tel qu’un plaisir coupable au petit-déjeuner. Parmi ces choses qui, bien qu’inavouables, rendent la vie plus belle figurent assurément les interprétations lyriques d’Arielle Dombasle. Si son Voi che sapete semble avoir disparu de l’internet, on a récemment découvert une pépite où la déesse à paillettes explique que dans le classique, il y a le baroque, et où elle livre sa version (évidemment éminemment personnelle puisqu’il s’agit d’une pièce pour clavecin) de la Sarabande de Händel, celle que Kubrick avait déjà rendue populaire dans son Barry Lyndon. Merci Arielle, vous êtes magique !