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La chronique d’Hervé Niquet : « C’est quand même couillon de mourir étouffé en chantant un Requiem de Brahms »

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25 mai 2020
La chronique d’Hervé Niquet : « C’est quand même couillon de mourir étouffé en chantant un Requiem de Brahms »

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Confiné. Sans orchestre. Hervé Niquet – jadis si occupé – nous livre chaque semaine sa chronique du confinement, depuis son appartement où seule la lumière lui tient compagnie. Cette semaine, le Maestro évoque la technique de chant avec masque, la population de son jardin qui tourbillonne autour des crottes du chien Pepper et – enfin – le souvenir d’un concert de Jazz à Montréal avec Michel Legrand.

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