Il faut un début à tout. Telle pourrait être la devise de Stanislas de Barbeyrac en ce moment, alors qu’il chante pour la première fois Don Ottavio (Don Giovanni) à San Francisco et que sur son site Web, il annonce une saison 2017-2018 placée sous le signe de l’inédit. Qu’on en juge : débuts à l’Opéra de Zurich en septembre 2017 avec Tamino (Die Zauberflöte) ; débuts à la Monnaie de Bruxelles avec le Chevalier de la Force (Dialogues des Carmélites) et, en février dans le même rôle, au Théâtre des Champs-Elysées ainsi qu’au Théâtre de Caen ; premier Pelléas (Pelléas et Mélisande) à l’Opéra de Bordeaux en janvier ; premier Instant lyrique à Paris en avril puis premier Gonzalve dans L’Heure espagnole à la Bastille. La boucle sera bouclée en juillet avec de nouveau Tamino au Festival d’Aix-en-Provence. Mais – exception qui confirme la règle –, il ne s’agira en rien d’un début puisque le ténor a déjà interprété le rôle au même endroit en 2014.
Stanislas de Barbeyrac, la saison de tous les débuts
Partager sur :
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur whatsapp
Partager sur email
Partager sur print
Brève
16 juin 2017
Stanislas de Barbeyrac, la saison de tous les débuts
Infos sur l’œuvre
Détails
Commentaires
VOUS AIMEZ NOUS LIRE… SOUTENEZ-NOUS
Vous pouvez nous aider à garder un contenu de qualité et à nous développer. Partagez notre site et n’hésitez pas à faire un don.
Quel que soit le montant que vous donnez, nous vous remercions énormément et nous considérons cela comme un réel encouragement à poursuivre notre démarche.
Infos sur l’œuvre
Détails
Nos derniers podcasts
Nos derniers swags
Les dernières interviews
Les derniers dossiers
Zapping
- 25 novembre 2024
- 24 novembre 2024
- 14 novembre 2024
Vous pourriez être intéressé par :
[themoneytizer id="121707-28"]