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Nicolas Courjal, toujours plus méchant

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Brève
1 décembre 2014
Nicolas Courjal, toujours plus méchant

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Après avoir été le cruel Pharaon lors de la résurrection de l’oratorio Mosè legato di Dio de Giovanni Paolo Colonna à Marseille (voir compte rendu), Nicolas Courjal creuse le sillon de l’oratorio biblique, mais côté Nouveau Testament, avec L’Enfance du Christ de Berlioz, le 5 décembre à Avignon. La basse française paraît cependant abonnée aux rôles de méchants, puisqu’il sera cette fois Hérode, responsable du massacre des Innocents. On entendra autour de lui le ténor Yves Saelens en récitant, Marie Gautrot, Thomas Dolié et Geoffroy Buffière, avec le Chœur symphonique et l’Orchestre régional Avignon Provence dirigés par Samuel Jean. Et après ces deux rôles, que chantera Nicolas Courjal ? D’autres méchants, pardi, puisqu’il sera l’infâme Gessler dans Guillaume Tell à Monte-Carlo, à Paris et à Londres.

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Nicolas Courjal dans Carmen à Londres © Catherine Ashmore

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