Surtout, on s’inquiète des conséquences que ce taux d’audience pourrait avoir sur la place réservée à l’opéra par les chaines de télévision française. Déjà réduite à la portion congrue, elle risque de ne pas aller en s’améliorant dans un secteur de plus en plus régi par l’audimat et les gains qui en découlent, au détriment de la culture. Et si pour inverser la tendance, nous, amateurs d’art lyrique, manifestions notre inquiétude en boycottant le petit écran ? Christophe Rizoud