Roberto Alagna, marchant sur les pas de son illustre prédécesseur Placido, enregistrera bientôt le rôle-titre du Barbier de Séville et jouera le même rôle dans un film mis en scène par la pétulante Coline Serreau. Ce projet pharaonique prendra vie au mois d’août et Roberto, qui chantera ici son premier rôle de baryton, exercera son art sous la baguette experte et précise de François-Xavier Roth. Le reste de la distribution devrait réunir Maxim Mironov dans le rôle d’Almaviva, Sylvia Schwarz dans le rôle de Rosina et l’inépuisable Jeannette Fischer dans le rôle de Berta. Que ceux qui prétendent que Roberto enregistre désormais des rôles de barytons parce qu’ils n’a plus d’aigu soient maudits pour leur malveillance. [HM]
Vos réactions
Je le revendique et j’en suis fier, je suis maudit pour ma malveillance. Coline Serreau et François-Xavier Roth sont tombés bien bas pour accepter de travailler avec Alagna…
Hervé
Bravo Roberto, c’est diversité qui fait la qualité d’un chanteur et d’un homme. Rôle de barython ou ténor pour nous vous serez toujours NOTRE Roberto. Et uen vrai carrière au cinéma pourquoi pas ? BRAVO, nous irons vous voir à Lyon pour le concert à la salle 3000 et puis quelques jours à Orange comme tous les ans. Nous vous embrassons très fort.
Josette et Joseph
Je suis presque un inconditionnel de R Alagna qui est mon ténor préféré. Le fait qu’ il enregistre le Barbier, version Baryton m’ inquiète. Il commence à avoir des ennuis avec son contre- ut; au mieux il n’ est plus brillant, au pire, en voix de poitrine il le rate Ou comme dans Faust il le lance en en voix dite de tête; ce qui n’ est pas écrit dans la partition. Quand à P Domingo, ce n’ est plus un vrai ténor. Il est en fin de carrière…..et ne peut être une réfèrence. Salutations
Pierre
En effet cela fait bizarre de voir notre super Ténor dans le rôle de Figaro du Barbier de Séville, mais Domingo l’a fait avant Roberto et est resté ténor tout de même. Nous venons de voir et entendre ROBERTO à Covent-Garden le 21 avril dans le rôle « du Trouvère » qu’il a superbement chanté de sa belle voix solaire, avec des aigus somptueux, surtout dans « di quella pira »; nous ne nous inquiétons pas pour la voix de Ténor de Roberto Alagna, elle est unique.
Monique
Josette et Joseph, amoureux fous, Pierre inconditionnel, Monique qui lui trouve des aigus somptueux, mais qu’à donc ce piètre Alagna pour séduire et subjuguer les foules ? Cette fois on est en plein délire. Depuis plusieurs années, Alagna n’est plus rien, sinon un vendeur d’illusions entretenu par des médias douteux. Et puis la comparaison avec Domingo est indécente et déplacée. Domingo était un des plus grands artistes lyriques, menant sa carrière avec une intelligence et une passion exceptionnelles, et ce qu’il fait encore aujourd’hui mérite un respect unanime.
Hervé
Mais où sont donc passés les admirateurs, les passionnés, les fous, les enragés, les mordus, les enflammés, les fervents, les exaltés, les amoureux, les fanatiques de celui qu’ils n’hésitent pas à comparer à Placido Domingo – en mieux je suppose – et a le placer au firmament des plus grands parmi les plus grands. Ils n’ont pas eu le courage de veiller ? Ce n’est pas très courageux ! Quand on aime, on ne compte pas…
Hervé
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