« Comment faire mieux ? » interroge Le Figaro dans son édition de ce samedi 10 août. A en croire le quotidien, la cérémonie de clôture des JO ne sera « pas moins belle, pas moins innovante et pas moins mémorable que celle d’ouverture. C’est la promesse renouvelée des équipes chargées des festivités olympiques réunies autour de Thomas Jolly ».
D’une durée inférieure – 2h30 contre 4h –, le spectacle devrait en partie adopter un style qui évoquera « l’opéra et le théâtre ». L’Hymne à Apollon, « chant grec antique réarrangé par Gabriel Fauré et joué en 1894 au congrès de la Sorbonne » sera interprété par l’Orchestre Divertimento et la Maîtrise de Fontainebleau, auxquels sont promis cette fois une mise en avant télévisuelle, « à la différence des orchestres de la cérémonie d’ouverture que le réalisateur du CIO avait complètement oubliés. ».
L’article annonce également « un pianiste et une grande voix lyrique ». Le nom de Benjamin Bernheim est avancé. Pourquoi pas ? Le ténor, qui chantait Roméo dans Roméo et Juliette de Gounod mis en scène par Thomas Jolly à La Bastille en 2023, est actuellement à Salzbourg pour les répétitions des Contes d’Hoffmann. Mais la date de la première – mardi 13 août – n’est pas incompatible avec un passage à Paris ce dimanche soir. L’opéra n’aura cependant pas le dernier mot, ou plutôt la dernière note. Le morceau final devrait être confié à une star de la pop : Beyoncé ou Taylor Swift ?