A l’occasion de son retour au Staatsoper de Berlin pour Samson et Dalila, dans une nouvelle production signée du cinéaste argentin Damián Szifron, Elina Garanča a livré au Berliner Morgenpost quelques remarques et confidences sur l’évolution de la carrière. Elle confirme qu’elle a renoncé aux rôles travestis, et notamment à Octavian, car elle ne veut plus « avoir des bleus partout et sauter à pieds joints sur un lit », et annonce que son prochain « Everest à gravir » est Amneris, qu’elle abordera d’abord en avril aux Canaries avant de l’intérpréter à l’Opéra de Paris la saison prochaine. Viendra ensuite une première Kundry, à Vienne en 2021. Si elle est assez discrète au sujet de l’opéra de Saint-Saëns, elle signale toutefois qu’en répétition, les discussions avec Daniel Barenboïm ont lieu en anglais, parce qu’elles ont commencé dans cette langue, mais qu’elles pourraient aussi bien se faire en allemand, en russe ou en espagnol. Espérons que la mezzo lettonne ne perd pas tout à fait de vue que Dalila doit aussi chanter dans un français qu’on souhaite un tant soit peu intelligible…
Elina Garanča, bientôt Amneris à Paris
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Brève
21 novembre 2019
Elina Garanča, bientôt Amneris à Paris
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