Vous aimeriez recevoir « des conseils pratiques destinés aux musiciens », découvrir comment « des êtres humains surmontent leur peur et leur insécurité pour mettre leur cœur et leur âme à nu sur une scène » ? Vous voulez savoir comment « l’argent, à condition d’en gagner, vous transforme », comment « affronter des chefs d’orchestre et des metteurs en scène fous », comment gérer « la jalousie, la nostalgie, l’amitié », sans oublier « le frisson et la gloire qui accompagnent la réussite » ? Vous trouverez tout cela dans les mémoires de Jennifer Larmore, s’il faut en croire la quatrième de couverture. Et si vous croisez la mezzo américaine dans une rue de Paris, ville où elle réside avec son mari et son loulou de Poméranie, à défaut de parler musique, vous pourrez lui dire que vous aimez beaucoup ce qu’elle écrit.
Una Voce, The Drama in Opera, both Onstage and Off (« Una voce, la comédie de l’opéra, à la scène comme à la ville), 322 pages, paru le 22 octobre aux éditions Lulu Publishing, 30 dollars relié, 15 dollars en poche, 6 dollars en version Kindle
