Ses meilleures photos shirtless s’échangent sous le manteau et dernièrement, une femme n’a pas résisté au choc : elle s’est évanouie en plein milieu d’un récital Shubert qu’il donnait dans le New Jersey (il n’avait pourtant pas enlevé sa chemise). Nathan Gunn, un des chanteurs les plus torrides de sa génération, se confie à PlaybillArts. Dans une interview accordée au webzine américain à l’occasion des représentations de The Magic Flute à New York (il interprétait Papageno), le baryton en dit un peu plus sur ses goûts littéraires – Épictète, Hemingway, Dumas,… –, musicaux – l’Adagio de Barber, le Claire de Lune (sic) de Debussy, La Passion selon Saint Jean de Bach, … –, cinématographiques – Casino Royale, 2001, l’Odyssée de l’espace,… –, etc. En mal de confidences, Nathan Gunn avoue même quelques plaisirs coupables qui paraitront bien raisonnables à bon nombre d’entre nous : scotch et cigare. Les amateurs (au masculin) des dieux du stade en seront aussi pour leurs frais, le baryhunk est l’heureux papa de cinq enfants. Nobody’s perfect ! Christophe Rizoud