L’histoire, rappelée sur Instagram par le compte fansdeculture, se passe en 2013. Lors d’un récital, Olga Peretyatko attaque la périlleuse cadence de Salavieï (le Rossignol), une mélodie populaire russe d’Alexander Nikolaievitch Alabiev, lorsque soudain la sonnerie d’un téléphone s’immisce dans l’espace laissé par une respiration. Rires dans le public ; surprise de la soprano qui s’esclaffe à son tour avant de poursuivre comme si de rien n’était. D’après le site planetoscope.com, Il se vend actuellement 1,56 milliard de Smartphones par an dans le monde. Autant dire qu’en dépit de l’appel à éteindre son téléphone portable avant le spectacle, l’histoire a de grande chance de se répéter aujourd’hui, et encore plus demain. Malheureusement…
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