Mystère des tessitures, limite de la catégorisation à laquelle nos esprits cartésiens veulent plier la nature, Varda Kotler se présente aujourd’hui comme soprano quand Chérubin et Rosine appartiennent à son répertoire et que son prochain disque, L’heure romantique, comprend notamment « Parto, parto », l’air de Sesto dans La clemenza di Tito, et « Nobles seigneurs, salut », la cavatine d’Urbain dans Les huguenots, autant de rôles habituellement dévolus à des mezzo-sopranos. Cette chanteuse originaire de Tel Aviv, qui étudia le chant avec Netania Dovrat puis perfectionna son art à Londres et Rome, aime dérouter. A côté de Mozart et Meyerbeer, L’heure romantique, son 4e album déjà, comprend des mélodies de Mahler, Bizet, Cantelube, Boskovitch, et même « Music for a while » de Purcell. Le point commun de ces différents titres ? Leur romantisme, inné lorsqu’ils ont été composés par des musiciens dits romantiques – Schumann représenté notamment par « Abend Lied » et « Die Merfee » –, acquis sinon par la manière sensible, et parfois même rêveuse, dont Varda Kotler les interprète. Sortie prévue en France début novembre.
Varda Kotler, plus romantique tu meurs !
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Brève
4 novembre 2014
Varda Kotler, plus romantique tu meurs !
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