Mon meilleur souvenir dans une salle d’opéra ?
Les chœurs fin de l’acte 1 (Graal) de Parsifal au Festival de Bayreuth 2001 avec le jeune Christian Thielemann à la baguette.
Mon pire souvenir dans une salle d’opéra ?
Rigoletto version « La planète des singes » (m.e.s.: Doris Dörrie) à Munich en 2013…
Le livre qui a changé ma vie ?
Soie de Barrico.
Le chanteur du passé avec lequel j’aurais aimé me produire.
Pavarotti.
Mon plus grand moment de grâce face à une œuvre d’art.
Voir in situ les œuvres de Camille Claudel au Musée Rodin pour la première fois, à 23 ans.
La ville où je me sens chez moi ?
La Rochelle.
La ville qui m’angoisse ?
Pékin, l’hiver (smog).
Ce qui, dans mon pays, me rend le plus fier ?
La neige, et encore la neige.
Le metteur en scène dont je me sens le plus proche ?
Waut Koeken.
Mon pire souvenir avec un chef ?
#Balance ton quoi n’existait pas en 2002…
À part chanter, ce que j’ai dû faire de plus compliqué sur scène ?
Promener un poney sur scène alors que je suis très allergique.
Si je pouvais apprendre un instrument du jour au lendemain, lequel serait-il ?
L’Auto-harp.
Un opéra dont j’aurais voulu être le créateur du rôle-titre ?
Lulu de Berg.
Le chanteur du passé dont l’écoute m’a le plus appris ?
Lucia Popp.
Le chanteur du présent que j’ai trouvé d’une générosité rare ?
Bryn Terfel.
Si j’étais un personnage de Disney ?
Baghera, dans Le livre de la jungle.
Le compositeur auquel j’ai envie de dire « mon cher, ta musique n’est pas pour moi » ?
Philippe Catherine.
Si l’étais un Lied ou une Mélodie.
« Säusle, liebe Myrthe » de R. Strauss.
Mon pire souvenir historique des 30 dernières années.
Février 2022 : la Russie entrant en Ukraine.
Le rôle que je ne chanterai plus jamais.
Isolde. (je vous ai eu : Barbarina, évidemment.)
Ma devise
Toujours faire de son mieux. Et les bons jours, deux fois plus !