Mon meilleur souvenir dans une salle d’opéra ?
Pleurer.
Mon pire souvenir dans une salle d’opéra ?
Ne sentir jamais la fin arriver.
Le livre (/film) qui a changé ma vie ?
Les Misérables
Mon plus grand moment de grâce face à une œuvre d’art.
La salle de Fifty days at Iliam de CY Twombly au Musée de Philadelphie. La violence et le silence de ces traits abstraits rouges sur fond blanc
La ville où je me sens chez moi ?
Toutes les villes où je travaille
Ce qui, dans mon pays, me rend le plus fier ?
Les églises
Mon pire souvenir de mise-en-scène ?
(il n’est pas obligatoire de nommer la personne)
Une tentative de reproduire une scène d’un rapport sexuel sur scène.
Le metteur-en-scène qui m’a le plus appris en l’observant ?
Je n’ai pu observer que Romeo Castellucci
L’œuvre la plus complexe qu’il m’ait été donné de mettre en scène.
Toutes celles qui n’étaient pas été écrites avant et dont j’ai dû inventer la dramaturgie
Si je pouvais apprendre un instrument du jour au lendemain, lequel serait-il ?
Le hautbois
Un opéra dont j’aurais voulu être le créateur ?
Le cycle de Licht de Stockhausen
Le chanteur du passé dont l’écoute m’a le plus appris ?
Jessye Norman
Le chanteur du présent que je trouve d’une générosité rare ?
Stéphane Degout, Katrien Baert
Mon plus grand moment d’embarras ?
Ne pas me réveiller pas pour aller au travail
Si l’étais une pièce ou un livret d’opéra ?
Rusalka (Dvorak)
Mon pire souvenir historique des 40 dernières années.
Les attentats à Paris
Ma devise
Nothing is permanent