Il y a des jours où, encouragé par le contexte économique et les conditions pluviométriques, votre fidèle internaute s’enfonce dans une profonde mélancolie et ne visionne exclusivement que des extraits des plus poignants suicides lyriques, et si possible par des chanteuses mortes dans les mêmes conditions. Puis vient un jour où le soleil brille de nouveau, et où il n’y a qu’Anna Netrebko qui puisse rivaliser avec lui. « Ihre Lippen, sie küssen so heiß » : on n’en doute pas. Heureux celui qui… [MH]
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