Après Angela Gheorghiu et Florian Sempey cet été, c’est au tour de Julie Fuchs de nous dévoiler sur Twitter un de ces trucages fréquents à l’opéra où le suicide à l’arme blanche est une des premières causes de mortalité, bien avant l’alcool au volant. A la fin d’I Capuleti e I Montecchi de Bellini, actuellement à l’affiche de la Bastille, Giulietta arrache le poignard des main de Romeo mort et se perce le flanc à son tour – fantaisie du metteur en scène car le livret ne mentionne pas de hara-kiri. Qu’on se rassure, une lame rétractable permet à la soprano de se relever dès le rideau tombé. Giulietta meurt mais Julie est indemne, ainsi qu’on pourra le vérifier jusqu’au 14 octobre sur scène, ou le 29 septembre à 19h30 sur France.tv/Culturebox ou dans les cinémas UGC.
How does Juliet die in this production of “I Capuleti e i Montecchi” at @operadeparis? Come with me backstage to see how Giulietta meets her tragic end, but no Julies are harmed in the process…I’ll be using this knife tonight for our second show! pic.twitter.com/HryZEFnsRn
— Julie Fuchs (@juliefuchssop) September 23, 2022